J’ai créé un concept unique au monde.

Quand la culture sneakers fusionne avec l’art contemporain

Qui suis-je ?

Je m’appelle Constantin et je suis le deuxième d’une fratrie de quatre. J'ai grandi à la campagne dans une famille qui nous a transmis très tôt une fibre artistique.

Grâce à ma grand-mère et ma mère, j'ai développé un intérêt pour l’art et le dessin. Mon père, lui, m’a rapidement inculqué l’importance des études. Avec ma motivation et un esprit compétitif, j’ai fait de mon mieux pour atteindre mes objectifs, et j’ai étudié la comptabilité, l’audit et la finance jusqu’en Master 2 à Paris.

En parallèle de mes études, j’étais très impliqué dans divers projets entrepreneuriaux et sportifs. Je suivais régulièrement des entraînements et tournois de tennis, tout en développant des projets à la fac. J’ai aussi pratiqué le basket pendant plusieurs années, et c’est là que j’ai découvert l’univers des sneakers et leurs collaborations uniques.

“J’y voyais une forme d’art, avec des mélanges de couleurs, de matières et de formes qui m’ont fasciné.”

Mon intérêt pour les sneakers grandissant, je voulais créer quelque chose d’unique dans l’art avec ces sneakers. Après plusieurs semaines de réflexion et d'imagination, j’ai prononcé cette phrase :

Comment m'est venue cette idée ?
“Beaucoup d'artistes dessinent sur des chaussures, mais personne ne dessine avec”

Le concept venait d'éclore !!!

Le grand saut

Pendant mes études, je consacrais chaque soir et week-end à mon projet artistique, perfectionnant ma technique et partageant mes créations. J’ai constaté que mon art intéressait les gens et, surtout, à quel point cela me passionnait.

L'idée de prendre une année de césure pour me consacrer pleinement à ce projet a germé des mois avant que je me lance. Je savais que j'allais plonger dans l'inconnu, mais c'était excitant.

Ca y est !

Les messages de soutien de mes proches, amis, et de certains professeurs ont été déterminants. Ils m'encourageaient à tenter ma chance, et peu à peu, je sentais que c'était le bon moment. Lorsque j'ai signé ma première exposition dans un shop de sneakers à Paris et réalisé ma première vente. Tout semblait s'aligner, et chaque signe me disait qu'il était temps de me lancer à 100 % dans cette aventure.

L'art de la renaissance des sneakers

Comme beaucoup d’étudiants, j'achète principalement sur Vinted, où j'ai appris à dénicher les bonnes affaires tout en évitant les contrefaçons. En explorant le marché de la seconde main, j'ai découvert une multitude de sneakers rares, souvent oubliées et attendant une nouvelle vie. C'est ainsi que j'ai décidé de les réinventer en les intégrant dans le monde si unique de l’art.

1) La magie des sneakers usagées

2) Le début du processus créatif

3) L'art de la transformation

Tout commence par un coup de cœur sur une paire de sneakers sur Vinted. Ensuite, dans mon imagination, je cherche à l'associer à une célébrité, qu'elle soit sportive ou musicale. Ce moment déclenche réellement le processus créatif.

Je commence par dessiner le portrait de la célébrité choisie sur mon IPAD, afin de me projeter sur le tableau final. Puis, je découpe minutieusement les sneakers, en récupérant chaque morceau. Chaque partie a un potentiel, car je ne connais jamais exactement la quantité nécessaire. Une fois les pièces nettoyées, je redessine le portrait sur la toile et commence le collage. J’ajuste constamment les morceaux, collant, décollant, jusqu’à ce que l'œuvre corresponde à ma vision.

Petit à petit, les sneakers s'assemblent et donnent vie au portrait !!

Je suis à l'aboutissement de ma devise, empruntée à Albert Einstein :

"La créativité, c'est l'intelligence qui s'amuse."